Couverture :
Dans Le Garçon aux yeux gris, porté à l'écran par André Téchiné sous le titre Les Egarés, une jeune femme et ses deux enfants, sur la route de l'exode, se réfugiaient dans une maison inhabitée en compagnie d'un drôle d'adolescent. C'est dans la même demeure campagnarde que se passe L'Homme au bout du rouleau, mais deux ou trois ans plus tard, cette fois, en pleine guerre. Une Delage vient s'y garer. A son bord, Henri, résistant communiste, cardiaque ; Renée, une pure et dure du Parti ; et une jeune fille ligotée, Astrid, qu'ils soupçonnent d'avoir dénoncé leur réseau. La maison est propice à toutes les explications, mais aussi au réveil des passions intimes, à l'écart des grandes routes de l'Histoire...
Mon avis :
L'homme au bout du rouleau est le deuxième roman d'une trilogie. J'ai commencé par le troisième roman La jeune femme triste, et finirait donc par le premier volet. Le lien entre ces trois histoires est cette maison isolée.
Ce roman a les mêmes qualités mais surtout les mêmes défauts que le suivant. Surtout j'ai retrouvé le même problème de ponctuation : les dialogues ne font pas l'objet de retour à la ligne, ce qui complique grandement la compréhension. Il s'agit d'un livre court et c'est certainement ce qui m'a permis de ne pas arrêter ma lecture. J'étais tentée de le faire, même si j'avais envie de connaitre l'issue de ce qui commence comme un huit clos entre un homme et deux femmes.
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Perrault Gilles,
Roman
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