Marian Keyes : Une vie de rêve

Publié par Stéphanie on vendredi, juin 15, 2007

Couverture :
Comment Lisa, Londonienne branchée, en était-elle arrivée là ? Adieu sa promotion au prestigieux magazine Manhattan à New York, un tout autre défi l'attend... à Dublin ! Dans des bureaux miteux, sans téléphone portable, avec une équipe complètement " out ", elle doit créer une nouvelle revue féminine en Irlande : Colleen. Chic et sexy si possible. Un
cauchemar éveillé dans lequel la rédactrice adjointe qu'elle découvre sur place - Ashling, irlandaise cultivant la platitude et un goût prononcé pour le tarot et l'astrologie - hante ses nuits. Ashling qui, elle aussi, rêve d'une autre vie, celle de sa meilleure amie Clodagh par exemple, apparemment aux anges avec son package mari-enfants-maison. Un équilibre bien fragile qui va cependant voler en éclats lorsque le prince charmant, qu'elles attendent tant, va enfin arriver mais pour semer la zizanie...

Mon avis :
J'avais déjà beaucoup aimé "Le club de la dernière chance" et j'ai retrouvé le même plaisir à lire ce livre de Marian Keyes.
Les trois héroïnes sont toutes les trois aussi attachantes l'une de que l'autre. Le style est agréable à lire. Les situations sont représentatives de la vie et il y a toujours un zeste d'humour.
Bref, un excellent livre de vacances.

4 commentaires:

Comment by Caro[line] on 16 juin 2007 à 11:15

J'ai aussi lu ce roman de Marian Keyes :
http://krolinh-lectures.blogspot.com/2006/12/une-vie-de-rve-marian-keyes.html
J'ai beaucoup aimé. Comme tu dis, c'est une bonne lecture d'été.
Dans la catégorie "chick-lit", j'apprécie cet auteur.

 
Comment by Anonyme on 19 juin 2007 à 12:24

Alors si c'est un excellent livre pour les vacances, j'en prends bonne note ! ;-))

 
Comment by Anonyme on 19 juin 2007 à 21:43

Tagger, je viens de te tagger
http://serialecteur.canalblog.com/archives/2007/06/19/5358735.html

Bienvenue !

 
Comment by Anonyme on 4 juillet 2007 à 19:35

J'ai beaucoup aimé aussi le club de la dernière chance. Je lirai peut-être celui-ci alors